JACK LADDER

Jack Ladder est l’un des personnages les plus singuliers de la musique australienne. Sentimental et triste, sardonique et surréaliste. Il amène cet imposant et tendre baryton à raconter des histoires de beauté, d’amour, d’espoir et de rédemption. Maîtrise de la narration musicale, il évoque des paroles qui célèbrent l’absurdité et la sincérité de la condition humaine dans des chansons au groove subtils.

 

Au cours des treize années qui se sont écoulées depuis son premier album, le parcours musical varié de Ladder a été marqué par des virages stylistiques, mais son oeuvre a toujours été connectée à un talent singulier pour l’écriture. Arrivé en 2005 avec ‘Not Worth Waiting’, Ladder a ensuite continué avec ‘Love Is Gone’ en 2008. C’est ‘HURTSVILLE’ en 2011 qui a marqué un virage avec une collection de récits rempli d’une atmosphère particulière de désolation et de malaise, décrites par ‘The Age’ comme «une terrible histoire d’usine à WASPS pleine de dégoût». ‘HURTSVILLE’ a développé au fil du temps une base d’adorateurs dévoués, inspirant parmi d’autres par exemple Alex Cameron, qui a récemment écrit sur l’impact qu’a eu le disque sur lui et sa composition musicale.

 

L’album Playmates en 2014 a réussi à mélanger de manière transparente une gamme de sons vertigineuse, allant de la synthpop au marimbas, tandis que ses thèmes lyriques allaient du pouvoir rédempteur de l’amour au fardeau de la notoriété. Son dernier album Blue Poles sorti en mai 2018, et totalement auto-produit s’est révélé être l’aboutissement parfait de la trajectoire musicale de Ladder jusqu’à présent, faisant l’objet de critiques élogieuses tant en Australie qu’à l’étranger. En conséquence, il a accompagné en tournée et travaillé aux côtés de grands noms de l’industrie musicale – Bill Calahan, Angel Olsen, John Cale, Sharon Van Etten, Father John Misty, Weyes Blood, Alex Cameron, Kirin J Calinan, Florence and The Machine ou The Killers.