CHAPELIER FOU

Tirant son nom d’un des personnages du célèbre conte « Alice au pays des merveilles » de Lewis Carroll, le jeune homme originaire de Metz, fait l’apprentissage du violon classique au Conservatoire dès l’âge de six ans, puis du clavecin. Cependant, plutôt que de se plier aux règles musicales du domaine classique, il préfère jouer dans des formations moins conformistes et enrichir sa palette instrumentale au contact de l’electro, de Kraftwerk à To Rococo Rot.

 

Qu’est ce qui fait singularité de Chapelier Fou ? De la musique électronique à ces magnifiques mélodies au violon qui donnent la chair de poule. Mais il ouvre également le champ des possibles, par son panel d’émotions variées et un travail d’orchestration dense. Pour Louis Warynski (Chapelier Fou pour l’état civil), la complexité est synonyme de fascination, et l’immersion au rendez-vous. Le résultat est unique, car porté par une volonté d’exploration qui ne peut laisser insensible.