4 hommes à peu près, une machine. Des compositions dont la structure est aléatoire et change au bon vouloir de la machine. Cette dernière n’indiquant aux êtres organiques ce qu’ils doivent jouer que quelques instants avant le moment fatidique du changement de riff. Inondant d’un brouillard sonore et distordu un auditoire dubitatif et interloqué.
Voila qui résume grossièrement le concepts de Chaos Rules, une musique qui n’est pas tant assistée par ordinateur que l’ordinateur est assisté par 4 humanoïdes un peu ratés.
